Patrick Groulx capte les joies de l’enfance
«Mes enfants regardent leurs vidéos préférées sur mon iPad. L’application permet de capter leur réaction pendant qu’ils regardent la vidéo, à l’aide la caméra frontale du iPad. Ça me permet de garder de beaux souvenirs», explique-t-il. Autant les enfants que les proches peuvent être «captés». L’idée de Patrick Groulx a cheminé jusqu’aux bureaux de Mirego, avec qui il a conclu un partenariat d’affaires. «Une application moindrement élaborée peut coûter de 20 000$ à 100 000$. C’est mon avocat qui m’a parlé de Mirego, qui a fait des applications comme Du proprio et La Presse. On est en train de faire des tests pour mettre l’application aussi sur le marché Android», détaille l’humoriste. Dans son spectacle intitulé Job: humoriste, Patrick Groulx parle des technologies, mais aussi d’environnement et des hôtels, où il a l’habitude en tournée. «J’ai vu un reportage sur la chaîne ABC qui m’a jeté à terre. Je suis rendu paranoïaque (des hôtels). C’est un des numéros qui fait le plus rire», souligne-t-il.
Supplémentaires à Québec
L’humoriste aux cheveux en brosse sera en supplémentaires à la salle Albert-Rousseau les 24 et 25 février pour son troisième one man show Job: humoriste. Lors de son premier spectacle en tournée à Québec, il a donné une vingtaine de représentations. «On dirait que mon humour clique avec les gens de Québec. Je me rappelle avoir fait des shows au Dagobert, aux Lundis Juste pour rire animés par Mario Grenier. Le rez-de-chaussée était plein et c’était rediffusé au deuxième étage», raconte celui qui a fait partie du groupe d’humour 4-Alogues dans la jeune vingtaine.
Sans costume ni décor
Job: humoriste est son troisième spectacle, mais le deuxième à être sans décor ni costume, donc exit le curé Poirier et Simon Perron. «J’aime faire mes personnages, mais je les ressors dans les galas, comme Juste pour Rire et le Grand Rire de Québec. C’était laborieux en spectacle, j’avais 13 changements de costumes à faire! Je devais remettre en contexte chaque fois. Je préfère le stand up, avec son côté franc, direct. Ça amène une grande proximité avec le public», explique l’humoriste. C’est donc dans les subtilités de l’éclairage, réalisé par Steeve Croteau, que la scène est «habillée». «Il y a des changements tout au long des tableaux. Il y a un numéro où je parle de Français qui viennent déranger dans un spa. À ce moment-là, le bleu, le blanc et le rouge sont à l’honneur», illustre-t-il.
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